ayé Zaza a trouvé la remplaçante de
cracotteVoyageuse a écrit:C'est une bonne idée ce test! Le problème pour moi, c'est que j'aimerais conduire un cabriolet, mais en même temps j'ai besoin de beaucoup d'espace à l'intérieur de la voiture :'(
Je devrais peut-être tout simplement acheter un mini van et pour les week-ends prendre une location de voiture décapotable!
Une petite sélection "caradisiac" de cabrio spacieux:Volvo C70 (37 900- 48 500 €)C70 inaugure de belle manière la saga des cabrios "Volvo", le cabriolet C70 dispose de quatre vraies places, d'une excellente habitabilité et d'un accès aisé à l'arrière. Le système de capote, tout électrique est un régal de facilité, malgré une certaine lenteur. Le filet coupe-vent permet de rouler, vitres fermées, à la vitesse maxi sans remous d'air importants. La Volvo C70 cabriolet vieillit très bien et sa ligne attire de très nombreux regards. Elégante et dynamique, elle séduit qu'elle soit capotée ou non. Malgré ses six ans d'existence, la Volvo C70 cabriolet est encore dispendieuse si on la compare aux Audi A4 Cabriolet BMW 325 Ci Cabrio. En revanche, elle peut se targuer d'offrir une habitabilité généreuse et une exclusivité indéniable sur le marché français.
Opel Astra cabriolet (22230-30230 €)Lancé en 2001, l’Astra Cabriolet ne manque pas d’élégance. Cependant, cette variante dessinée par Bertone reste proche de la berline c’est à dire sérieuse et pratique. L’Astra Cabriolet accueille aisément quatre personnes et offre un volume de coffre honorable.
L'Astra cabriolet ne fait pas tourner les têtes sur son passage mais offre un niveau d'équipements compétitif par rapport à la concurrence comme la capote électrique à commande à distance, les jantes alliage, les quatre vitres électriques et les sièges sports de série. C'est un cabriolet raisonnable qui ne cherche pas à attirer l'attention.
Chrysler PT Cruiser cabriolet (25 400- 27 400 €)Le plus rétro des cabriolets, décliné sur la base de la PT Cruiser s'est découvert au printemps 2004. Cette version topless n’est pas qu’une simple suppression du toit. Les panneaux arrière et les passages de roues ont été retouchés, afin d’intégrer deux portières plus longues. Petit particularité : les passagers de la banquette arrière sont assis plus haut que ceux des places avant, ce qui offre une vue imprenable sur la route. Bien que le toit ait été abaissé de 25mm, l’espace reste tout a fait confortable pour les 4 passagers. Lorsque la capote est en place, le look du PT Cabrio rappelle les hot-rod des années 30, ponctué d’une barre de toit bien présente. Le bloc de 2.4 qui développe initialement 143 ch passe à 223 ch avec l'addition d'un turbo. Au catalogue deux transmissions : manuelle 5 rapports et auto 4 rapports.
Audi A4 cabriolet (35 830- 69930 €)Un an et demi après la commercialisation de la berline, la version cabriolet de l'A4 est apparue sous les meilleurs auspices. Pourquoi les ingénieurs d'Ingolstadt ont-ils préféré une décapotable aux nouveaux toits rigides escamotables comme sur le SLK. La réponse est toute simple. En partant de la plate-forme de l’A4, cette solution était impossible sans sacrifier les places arrière ou (et) la capacité du coffre. Le parti pris du toit souple se défend car on dispose de 4 vraies places. La pureté de la ligne, capote en place ou rangée est du plus bel effet. On reconnaît bien là, la rigueur allemande. L’habitacle respire la qualité et le 3.0 V6 220 ch se prête également à une conduite musclée. Le V6 2.4 de 170 ch qui accuse une vingtaine de kilos supplémentaires affiche un rendement moindre. Puisque diesel et cabriolet ne sont plus incompatibles, le 2.5 TDi de 163 ch est au catalogue depuis le début de l'année. Ses indéniables qualités font passer la pilule d’un prix coquet, néanmoins légèrement inférieurs aux versions équivalentes du cabriolet BMW série 3, leader bien installé de la catégorie des cabriolets. L'A4 cabriolet est également disponible dans une version "S", plus musclée avec un V8 4.2 de 344 ch !
Saab 9-3 cabriolet (34 500- 43 750 €)Par rapport à sa devancière, la ligne de la berline 9.3 actuelle à coffre séparé a un peu perdu en personnalité ce qu’elle a gagné en agressivité, voire en sportivité. Sans bouleverser pareillement ses volumes, le cabriolet suit cette voie d’une génération à l’autre. Plus râblé, moins effilé que le précédent (longueur inchangée mais porte-à-faux réduits au profit de l’empattement, hauteur stationnaire et la largeur accrue de 5 cm), le nouveau conserve toutefois un charme et une élégance propres aux découvrables de la marque. Des convertibles qui gardent toutes une capote souple car l’adoption d’un grand toit rigide allongerait inconsidérément l’arrière de l’auto. Face aux cabriolets Premium allemands, le cabrio suédois ne tremble plus. Assez proche en prix de l’Audi, il faudra donc plus que jamais prendre le temps de bien les essayer avant de choisir.